« Le nationalisme, c’est la guerre ! » rappelait François Mitterrand Ă la tribune du Bundestag en 1995.
« Les nationalistes, c’est la guerre ! », pourrions-nous rajouter, partout et toujours. Et face Ă ceux-lĂ , il ne faut rien cĂ©der.
Le nationalisme russe fragilise gravement la paix, pas seulement en Ukraine, mais sur l’ensemble du Continent europĂ©en Ă 3 heures de vol d’avion de Paris.
Lâhistoire des annĂ©es 30 en Europe, nous apprend qu’il ne faut rien cĂ©der aux dictateurs.
La guerre d’aujourd’hui peut avoir des formes diverses : Ă©conomiques, financiĂšres, numĂ©riques, stratĂ©giques ou tactiques.
Notre solidaritĂ© vis-Ă -vis du peuple ukrainien ne suffira pas, mais il est aujourdâhui nĂ©cessaire et indispensable dâaffirmer notre soutien au peuple ukrainien.